NOS GRAND-MÈRES SAVAIENT

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Nos grands-mères savaient... La science le confirme!

Il n’y a pas si longtemps, les herbes servaient à la fois de médicaments et d’aliments. Les premiers médecins étaient tous herboristes. On doit d’ailleurs à Hippocrate, célèbre herboriste et surnommé le père de la médecine moderne, cette phrase célèbre : “Que ton aliment soit ton médicament.” Aujourd’hui, avec l’utilisation des médicaments de synthèse, les herbes sont presque entièrement confinées à un rôle condimentaire.

Nos grands-mères ont toujours préparé des infusions, décoctions, masques et onguents pour soulager les maux de leur famille, procurer le bien-être, la santé, la beauté. Les ingrédients se trouvaient dans la cuisine. 

Nos grands-mères “savaient” bien des choses... 
Sinon, en effet, comment auraient-elles deviné que le chou, déjà utilisé par les Romains, est souverain pour les plaies, la cicatrisation, les douleurs rhumastismales, les contusions et les brûlures d’estomac ? Nos grands-mères ont appris à force d’expérience, transmettant leur savoir de génération en génération. Elle ne cherchait pas vraiment à savoir comment ça marchait, seul le résultat comptait, maintes fois vérifié par l’expérience !


La science veut absolument savoir POURQUOI et COMMENT ça marche et elle confirme de plus en plus le savoir empirique de nos grands-mères. C’est en voulant savoir “comment et pourquoi” que les chercheurs ont isolé l’acide acétylsalicylique, connu aujourd’hui sous le nom de Aspirine. La compagnie qui commercialise ce dérivé de plante est multi-milliardaire... Pourtant nos grands-mères se servaient simplement du saule et de la reine-des-prés en infusion et cela fonctionait très bien !

Autres exemples où la science donne raison à nos grands-mères :

LA SAUGE (Salvia officinalis) : La médecine moderne reconnaît à la sauge des propriétés antiseptiques, digestives, antispasmodiques et stimulantes. La sauge contient aussi des phyto-oestrogènes, substances végétales chimiquement très proches des oestrogènes humains et qui servent à lutter contre le syndrome prémenstruel et les troubles liés à la ménopause. Nos grands-mères se servaient déjà de la sauge contre les aphtes buccaux, et pour soigner les dérèglements des menstruations.


QUEUES DE CERISE : Les pédoncules des cerises figurent toujours au codex pharmaceutique français comme un diurétique puissant. On sait aussi aujourd’hui que les queues de cerise contiennent de l’acide salicylique. Nos grands-mères et les soeurs Hospitalières de tout le continent s’en servaient contre les crises de goutte...

AIL et OIGNON : Faut-il en reparler ? L’ail, grâce à l’allicine qu’il contient, est l’un des antibiotiques à large spectre les plus puissants du règne végétal. Il est également hypotenseur et abaisse le taux de cholestérol. L’oignon est un cousin. Nos grands-mères utilisaient l’ail et l’oignon pour de nombreux malaises !

PISSENLIT (Taraxacum officinale) : Selon la science, il contient des eudesmanolides et des germacranolides ainsi que beaucoup de potassium. C’est un diurétique puissant : d’où son nom de pisse-au-lit ? Il aurait aussi une action bénéfique sur le foie. Nos grands-mères s’en servaient contre les infections utinaires, la jaunisse et pour leurs fameuses “cures du printemps”.
Nos grands-mères en savaient des choses !!!

Sylvie Demers
Bonne Femme Demers inc.

Source: Le Bulletin Amical de Bonne Femme Demers, novembre 2004

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